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Hockey sur glace - Division 2
D2 : Retour sur la saison 2024/2025 - Episode 2
 
Après l'épisode 1 du retour sur la saison 2024/2025 du championnat de Division 2, nouvel opus avec le 2, consacré du 8ème au 1er - Champion de France
 
Média Sports Loisirs (La rédaction), Hockey Hebdo Patrick Poitrineau le 28/05/2025 à 11:30
Après avoir fait le bilan du 9ème au 20ème dans l'épisode 1, voici celui du 8ème au 1er , Champion de France deDivision 2 de hockey sur glace de la saison 2024/2025.
 
RAPPEL
 
Le premier, et comme beaucoup d’observateurs le prévoyaient, concerne la différence de niveau entre les 2 poules qui est incontestablement et plus que jamais en faveur des ‘’sudistes’’. A cela nous nous permettons d’apporter quelques explications qui nous semblent pertinentes. La première est que les poules étant géographiques, la localisation de la majorité des promus au nord de la Loire (5 sur 6) allait inévitablement être placé en poule A.

Déjà souffrant de la comparaison les saisons précédentes, la venue de ces 5 nouveaux clubs dont beaucoup découvraient ce niveau pour la 1ère fois, n’allait pas contribuer à rééquilibrer les 2 groupes. Rappelons de plus que certains ne devaient cette promotion que pour des raisons extra sportives. Pour ne rien arranger cela a entraîné un rééquilibrage géographique et La Roche-sur-Yon, un des meilleurs représentants de la poule A la saison dernière mais désormais trop au sud, a dû être muté en poule B.


 
La 2ème raison est que les clubs de la moitié nord de la France ne sont pas tant d’un niveau inférieur mais peut être plutôt le contraire et par la même beaucoup sont déjà en D1. Ainsi des 16 clubs de D1, 10 se trouvent sur ou au nord de la Loire pour seulement 6 en dessous.

 
Enfin, 3ème raison possible, on constate que les meilleures affluences dans les patinoires sont incontestablement chez les ‘’sudistes’’. On peut dès lors supposer par la même un peu plus d’arguments pour obtenir des aides plus conséquentes de partenaires, privés comme publiques, et donc plus de moyens pour bâtir une équipe. Pour finir, la conséquence de tout cela, est que l’on obtient une compétition plus intense en poule B permettant de mieux préparer ces équipes à la 2ème phase de championnat.


On constate ainsi moins d’écart de point entre le 1er et le 8ème, voir le 9ème, en poule B qu’en poule A. On rajoutera cependant qu’il n’y a pas de raison que cela ne puisse pas changer un jour et déjà l’arrivée de Brest descendant de D1, ainsi que celle des Alsaciens de Mulhouse, il n’y a pas si longtemps en Magnus, risque de rééquilibrer quelque peu les poules. Pour l’autre promu, Dammarie-lès- Lys, club d’Ile-de-France bien qu’il ait vu débuter de sacrés joueurs comme les frères Da Costa, ce devrait être moins le cas car découvrant ce niveau de compétition.

 
Autre constat, le favori désigné par la majorité des observateurs a bien fini par répondre présent et, au fur et à mesure de l’avancée dans la saison, a su tout à fait assumer ses ambitions. Rétrogradé administrativement de la Magnus et après des années l’ayant contraint à ronger son frein (entre autres 2 années à cause du Covid), Lyon semble repartir pour revenir vers un niveau plus digne de la capitale des Gaules. Montpellier, autre grande ville, semble vouloir prendre date. Mais d’autres ambitions se sont peut-être révélées lors de cette saison, y compris en poule nord. En cela l’avenir nous le dira. 
 
 

Nous rappelons entre parenthèse ( ) le classement de chaque club lors de sa saison régulière qui de plus servira à départager les équipes.


 
Suite au 2ème tour :
Les 4 éliminés de ce 2ème tour prennent place dans le classement là aussi en fonction de leur classement en saison régulière.

 
8ème Annecy (8ème poule B)

Les Chevaliers du lac d’Annecy ont fini par conclure leur saison plus qu’honorablement. Pourtant, après un début de championnat pour le moins inquiétant, nombres de supporters n’en menaient pas large pour leur équipe. Il aura en effet fallu attendre la 7ème journée pour que les Savoyards savourent leur 1ère victoire.

Déception d’autant plus grande que cette saison point de travaux à la patinoire pour expliquer une préparation tronquée. Il y eut certes des départs à commencer par l’entraîneur Stéphane Barin, parti coacher Anglet en Magnus, et des joueurs grands pourvoyeurs de buts. Mais les remplaçants ne manquaient pas, entre autres avec les renforts étrangers. Même s’il y eut un peu de réajustement, le coach annécien eut, à partir de la 2ème moitié de championnat régulier, pratiquement toujours dans son effectif le maximum de non JFL autorisé.

Cela correspond d’ailleurs assez au début du redressement du club. Mais se sont aussi beaucoup les joueurs locaux déjà présents l’an dernier comme Papa et Laplace qui ont su également grandement contribuer à alimenter le compteur des Chevaliers. La lutte fut longue à se dessiner entre Clermont-Fd, Valence et Annecy pour éviter la fatidique 9ème place. Si la 2ème partie de phase régulière des Savoyards fut moins impressionnante que celle de Valence,

ils parviendront également à prendre nettement l’avantage sur les Arvernes. Mais leur plus beau fait d’arme restera l’élimination au 1er tour du leader de la poule nord en seulement 2 manches. Par contre ils ne purent rien au 2ème tour face à la prolifique attaque des Vipers de Montpellier. Si nous ne sommes pas sûr que dès la prochaine saison, Annecy puisse être un prétendant aux tous premiers rôles de la D2. Les Chevaliers ont pu constater avec plaisir que le public a été de plus en plus au rendez-vous. Aux dirigeants de profiter de cette ferveur en sachant bien gérer cette intersaison et pouvoir prétendre à mieux.

 



7ème La Roche sur Yon (5ème poule B)

Cette année La Roche-sur-Yon se retrouvait dans une nouvelle poule au rythme reconnu plus intense. Les dirigeants firent donc un recrutement orientait plutôt vers l’expérience, expliquant par la même une des moyennes d’âge les plus élevés de la division. Si leur vétéran slovaque Farkasovsky (12 ans de fidélité avec le HOGLY) est parti, 2 Russes, avec déjà de l’expérience dans de nombreux pays (dont une courte mais intense en France puisqu’en Magnus), sont venus compléter le nombre de renforts non JFL pour le porter à 5.

Pour le restant, l’équipe est restée assez stable avec le retour notable de Valenciennes de Durand qui connut les heures de gloire de La Roche en D1. Voilà de quoi se lancer avec quelques arguments dans cette poule sud. Pourtant, après avoir joué longtemps les premiers rôles, les Vendéens échoueront à préserver leur place dans le quatuor de tête. Néanmoins en phase finale ils réussiront à bousculer la préséance en disposant au 1er tour de Courbevoie, notamment lors d’une 3ème manche où ils surent étouffer les velléités franciliennes.

Le tour suivant les voyait affronter le favori lyonnais. Si les Yonnais surent les pousser vers une 3ème manche ce fut à leur tour d’être étouffer par le jeu offensif des Lions. Au final, ils auront fait deux places de moins en saison régulière mais ils n’en seront pas moins parvenus à attendre encore les quarts de final. Beaucoup de joueurs du HOGLY ne manquent pas d’expérience, peut être pour autant va-t-il falloir au coach songer à rajeunir son effectif pour assurer l’avenir.

Ce club pourrait fort d’ici peu jouer de plus en plus les premiers rôles et, qui sait, espérer retrouver le niveau de compétition qu’il a connu il n’y a pas si longtemps. Cela rappellerait de bons souvenirs à un public fidèle puisque dépassant régulièrement le millier de spectateurs.

 




6ème Toulouse-Blagnac (3ème poule B)

Les Bélougas auront connu un parcours un peu en dents de scie en phase régulière. Ils ont su s’imposer face à des ténors, comme Roanne ou Montpellier, mais aussi s’incliner face à des clubs en lutte pour éviter la poule de relégation, comme Annecy ou Valence. Pour autant les Toulousains auront su sensiblement faire mieux que la saison dernière ; d’abord en terminant 3ème, soit 3 places de mieux qu’en 2024, et surtout en passant un tour des play-offs. Si le coach, l’incontournable Martin-Whalen présent depuis une dizaine d’année, n’a pas poussé jusqu’aux 5 renforts non JFL autorisés, il aura privilégié avec de la qualité et surtout de l’expérience dont l’américano-français André Ménard en est le plus bel exemple.

Pourtant les Bélougas peuvent légitimement ressentir de la déception puisqu’ils furent éliminés par les Lynx de Valence, équipe classé 4 rangs derrière eux. La consolation et même la motivation pour les dirigeants toulousains reste les partisans puisque la patinoire de Blagnac-Toulouse affiche la 2ème meilleure affluence du championnat (proche des 1300). L’objectif de l’intersaison sera d’abord de trouver un nouveau gardien car si le jeune Aubin Narbonne est annoncé comme restant, le canadien Xavier Bolduc, titulaire depuis 3 saisons, ne peut rester car non JFL.

L’agglomération toulousaine est une des plus importantes de France, gageons que son équipe de hockey devrait ambitionner de faire parler d’elles dans un avenir proche.

 



5ème Roanne (2ème poule B)

Comme la saison dernière, Roanne s’est fait éliminer dès le 2ème tour. Mais celle-ci est certainement plus frustrante puisque faisant suite à une saison régulière beaucoup plus réussie avec cette place de dauphin, soit 3 places au-dessus que la précédente. Pourtant cela ne s’annonçait pas si simple car les comptes du club révélaient un déficit propre à réduire la voilure. Heureusement les collectivités surent donner le petit coup de pouce pour ne rien compromettre.

S’il y eut un certain turnover parmi les renforts étrangers, l’équipe put à peu près toujours compter sur les 5 autorisés. Peu de recrues françaises mais intéressantes comme le gardien Peltier et voilà une équipe qui sans grands esbroufes mais avec une certaine régularité a su consolider sa position dans le quatuor de tête au point de ravir sur le fil la 2ème place à Toulouse-Blagnac. Comme on le prévoyait les Ligériens n’eurent guère de mal à éliminer Evry-Viry.

Par contre, face à Reims, seul club de D2 rescapé dans ces quarts de finales, les Renards ne surent pas apparemment gérer la pression, surtout à domicile avec un 1er tiers complètement raté. Ils s’inclineront par 2 fois sur la plus petite des marges. Soutenus par un vrai public, quoique limité par la dimension de la patinoire, les Roannais ont la volonté de progresser encore . . . et qui sait, prétendre à un niveau que le club n’a jamais atteint de toute son existence.

 



 
 
Suite aux demi-finales : Classement suivant le même principe.
 

4ème Valence (7ème poule B)
 
Après un début de phase régulière assez laborieuse où les Lynx fréquentèrent longtemps les dernières places, on pouvait craindre à nouveau une saison semblable à l’an dernier. (On rappelle que le club avait alors évité la relégation de justesse en poule de maintien). Il n’en fut rien car il y eut un réveil salutaire fin décembre qui se confirma si bien en 2025 que très vite les Valentinois s’éloignèrent, si ce n’est au niveau du classement (puisque seulement 2 rangs devant la fatidique 9ème place), mais tout au moins au pointage (+13 sur le 9ème).

Cette remontée aux points leur permit même d’espérer intégrer le top 4 lors de la dernière journée de la 1ère phase. Les Drômois échouèrent mais qu’à cela ne tienne, cela ne les empêchera pas de faire fi de la préséance du tirage pour les play-offs et réussiront brillement à passer 2 tours en éliminant, excusez du peu, le 2ème de poule nord puis le 3ème de poule sud.

Si apparemment la mayonnaise a tardé à prendre, le retour de quelques figures fut finalement fort bénéfique, à commencer par l’entraîneur tchèque Dlouhy, ancien joueur puis coach des Lynx de nombreuses saisons, et d’Arnaud Lazzaroni qui fit ses jeunes années à Valence avant de faire carrière dans nombre de clubs de Magnus et D1. Le choix de renforts non JFL plutôt judicieux ajouté à des jeunes plutôt prometteurs pour épauler des joueurs expérimentés, tout cela aura donné au final une équipe bien équilibrée qui n’aura cessé de progresser.

Il y aura certainement encore quelques retouches à apporter et peut être une meilleure préparation non parasitée par l’angoissante attente d’une validation en D2 un moment mis en appel. Alors ce club pourrait plus que jamais jouer les trouble-fêtes au grand bonheur de partisans qui eurent bien souvent l’occasion de remplir la patinoire.

 



3ème Reims (3ème poule A)
 
S’ils n’ont su être maitres chez eux en Champagne, les Rémois auront pourtant été de loin les meilleurs représentants de la poule nord. En effet leurs voisins châlonnais, non seulement les ont devancés en saison régulière mais les ont même battus à domicile lors de la toute dernière journée.

Cette petite déception dans cette 1ère phase ne doit pas pour autant faire oublier qu’ils ont amélioré leur classement par rapport à la saison dernière terminée seulement au 6ème rang. Enfin et surtout, le plus important est que les Phénix auront cette fois été bien au-delà d’une élimination dès le 1er tour des play-offs.

Ils ont entre autres pris leur revanche sur les Grizzlys qui justement les avaient battus lors des 8èmes de finales 2023/24 ; puis écartés des Roannais favoris de par leur 2ème place de poule B. Par rapport à l’effectif de l’an dernier l’équipe a pris une tournure nettement nord-américaine avec 4 canadiens et un états-unien.

Pour le reste il y a eu une grande stabilité si ce n’est l’arrivée comme gardien titulaire d’un JFL, Tristan Mongellaz, afin de devancer la réglementation imposée par la FFHG pour 2025/26. Si cela a contribué à une saison fort réussie, les Phénix devront pourtant tâcher d’être un peu plus réguliers pour progresser encore.

Car lors de la 1ère phase s’il y eut de belles performances, il y en eut d’autres plus décevantes face à des formations à priori à leur portée. Reste que l’équipe a encore du mal à remplir sa patinoire, tout au moins en saison régulière, qui est, de plus, fort limitée en capacité d’accueil. Mais un grand projet, actuellement en cours d’études, serait bien avancées. Cela pourrait dès lors faire renaitre des ambitions rappelant les belles années du club.


 




 
Suite à la finale :
 

Vice-champion de D2, Montpellier (4ème poule A)

Longtemps en tête de la poule sud et quasiment toujours dans le top 4, les Montpelliérains ont pourtant bien failli en être sortis définitivement. Cela se joua sur les 2 dernières journées de phase régulière, préservant de justesse cet avantage non négligeable au 1er tour. Pour autant, avec la pression des play-offs, on n’était guère rassuré sur les capacités à performer des Vipers. L’an dernier, 4ème également de la 1ère phase, ils n’avaient pas dépassé le 2ème tour et il était à craindre qu’ils ne fassent pas mieux.

Pour tenter d’aller plus loin et bien que sous surveillance de leur budget par la FFHG, les dirigeants héraultais tentèrent de combler quelques lacunes perçues, notamment en défense, lors de l’exercice précédent. Ainsi le poste de gardien fut confié au canadien Stiliadis pour cette dernière saison où cela est encore possible avant l’application du nouveau règlement (JFL obligatoire pour les gardiens).

L’arrière garde fut renforcée avec le retour du défenseur Nepveu de villemarceau et l’arrivée d’Eliott Weber et Tagliapietra. Néanmoins c’est bien l’attaque avec le choix de 4 attaquants slaves qui reste le point fort de Montpellier et qui révélera pleinement son efficacité dans ces séries finales grâce aussi aux renforts des jeunes recrues françaises Cagigos et Lobstein… jusqu’aux matchs pour le titre face à Lyon.  

Les Rhodaniens sont leur bête noire depuis la saison dernière et malheureusement les rencontres de la finale, pourtant au meilleur des 5 manches cette année, ne feront pas exception. Non seulement les Montpelliérains ne réussiront pas à remporter une seule manche mais, sur ces 3 seules rencontres, ils verront leur compteur bloqué sur un famélique unique but. Tout au plus sur la dernière rencontre à domicile, leur défense a su fait à peu près le travail en n’encaissant que 2 buts. Sauf surprise d’intersaison, les Vipers vont devoir travailler encore leur jeu en D2, et certainement en particulier le défensif, pour prétendre à un retour en D1.

Probablement que satisfaire leur nombreux partisans (un des 4 clubs à l’affluence moyenne dépassant les 1100 spectateurs) est une excellente motivation pour pousser vers cette d’ambition.

 


 

Champion de France de D2 et promu en D1, Lyon (1er poule B)
 

Les Lyonnais ont semblé, comme la saison dernière, nous la jouer à nouveau petits bras en ce début de championnat. Il est vrai que des travaux à la patinoire Charlemagne ont quelque peu perturbé leur préparation. Mais cette fois cela n’a pas duré.

Dès la 6ème journée les Gones ont changé de braqué. Comme à leur habitude, les dirigeants des Lions ont pris leur temps pour finaliser leurs renforts étrangers et les 2 derniers ne le furent qu’en novembre. On prit moins de temps pour finaliser les recrues JFL et ils ont été particulièrement soignés avec l’arrivée entre autres d’Enzo Baravaglio, frère de Mattéo déjà présent au club, et de Fondadouze et Plantrou, tous 3 nantis de l’expérience de la D1, voir la Magnus et renforçant un groupe de jeunes joueurs lyonnais déjà remarquable en qualité comme en quantité.

Ce sont rajoutés également des prêts sous licences bleues certes forts talentueux mais dont la présence s’avéra trop sporadique, et même inexistante lors des phases finales, pour dire qu’elle fut déterminante. Mais il aura fallu apparemment un peu de temps pour que les automatismes se fassent.

L’arrivée des 2 dernières recrues de novembre, le russe Elabiyev (dont c’était un retour) et le finlandais Varjosaari, finira par lancer le mouvement. Les Rhodaniens commenceront leur inexorable remontée pour finalement prendre la tête de la poule sud début février pour ne plus la lâcher. Sur cette lancée, ils feront un 1er tour certes impressionnant par les scores mais face à des jeunes rouennais qui avaient manifestement la tête ailleurs.

Le 2ème tour sera le véritable 1er test avec des Yonnais qui sauront chèrement vendre leurs plumes mais finalement écartés en 3 manches. Lors du passage des séries en mode ‘’meilleur des 5 matchs’’, les Lyonnais réussiront à ne jamais lâcher une seule rencontre. Si ce ne fut pas si simple en demi, avec 2 premiers matchs serrés face à Valence, ils furent par contre intraitables face à Montpellier lors des 2 premières manches. Leur attaque fut moins en vue pour la dernière levée mais leur gardien, Clément Ginier, su rappeler qu’il est un des meilleurs gardiens de cette division et permettre aux siens de conclure la série sur son 3ème blanchissage en play-offs.

Une autre compétition s’engage désormais, celle des dirigeants pour la préparation à la division supérieure, tant au niveau du recrutement que sur le dossier du club pour obtenir aussi l’aval de la commission de contrôle (la CNSCG). La capitale des Gaules se doit de la gagner, ne serait-ce pour faire honneur à ses supporters aussi nombreux qu’enthousiastes et qui ne rêvent que de retour en Magnus. Pourquoi pas. Avec la grande patinoire Charlemagne le club a les structures pour recevoir le gratin du hockey français. Mais les dirigeants et entraîneurs n’ignorent pas que c’est un effort de longue haleine où tout doit être méticuleusement préparé avec encore un renforcement nécessaire des effectifs et des structures.

Il y aura donc des étapes à passer et cette 1ère saison en D1 en sera une, probablement non sans une période d’adaptation délicate.
 





Photo hockey Division 2 - Division 2 - D2 : Retour sur la saison 2024/2025 - Episode 2

 
 
 
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