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Hockey sur glace - Ligue Magnus : Grenoble (Les Brûleurs de Loups)
Grenoble: conférence de presse
 
Le club des Brûleurs de Loups ont invité la presse pour une conférence de presse afin de faire un bilan sur la saison sportive, sur son déroulement réglementaire et ses relations avec la fédération. Jacques Reboh (président), Jean-François Dufour (manager général), Joël Champagne (capitaine) et Christophe Tartari (défenseur) étaient présents.
 
Grenoble, Patinoire Pole Sud, Hockey Hebdo JC Salomé le 17/03/2021 à 19:30
Photo hockey Ligue Magnus - Ligue Magnus : Grenoble  (Les Brûleurs de Loups) - Grenoble: conférence de presse
Le président Jacques Reboh a commencé par remercier les partenaires, entreprises, abonnés et supporters qui ont apporté leur soutien au club. De nombreux témoignages, messages et pensées ont été reçus et ont fait beaucoup de bien aux joueurs et au staff. Jean-François Dufour (manager général) a ensuite présenté un bilan sportif de la saison :

« L'intersaison a été difficile à gérer sur tous les secteurs, notamment au niveau de la préparation physique sans patinoire à cause des travaux. Le début de la saison a été difficile à mettre en place. On a démarre la saison avec la CHL à jouer, il fallait construire une équipe compétitive mais avec des restrictions financières. Il fallait être prudents en regard des circonstances. On a commencé avec une équipe un peu plus jeune avec une marge de manœuvre pour améliorer l'équipe. La CHL a été repoussée deux fois puis annulée. Cela a changé notre vision des choses. On ne jouait pas énormément de matchs, c'était compliqué de faire un recrutement à ce moment-là. On commence la saison par des matchs à l'extérieur. Un début de saison mitigé avec 2 victoires et 2 défaites, un gardien de but qui revient d'une opération durant l'été. Notre vision était d'être le meilleur au moment des playoffs. Cela fait deux ou trois ans que l'on fonctionne comme ça. On commence la saison avec un effectif qui peut évoluer pour améliorer l'équipe et se donner une chance dans les phases finales des playoffs. En 2019, on a recruté deux joueurs en décembre et janvier pour que l'équipe soit capable de rivaliser avec l'équipe du moment. Rouen n'avait perdu que 2 matchs en saison régulière.
La situation du Covid, les interruptions, il a même été évoqué d'avoir une saison blanche en octobre/novembre... On a même envisagé avec nos joueurs d'arrêter la saison en raison de la situation économique. Cela faisait partie des discussions avec la fédération. On ne connaissait pas le montant des aides financières de l'Etat pour la billeterie. On a décidé d'être prudents, on avait un joueur blessé (Patrick McEachen, commotion cérébrale, saison terminée). En temps normal, nous l'aurions remplacé. A ce moment là, on ne croyait pas que la saison irait à son terme. Cela nous permis de développer nos jeunes joueurs, c'est le côté positif de cette saison.
Le bilan sportif est mitigé, pas à la hauteur de ce qu'on espérait. Avec du renfort, l'esprit du groupe aurait pu changer, cela aurait été différent. Mais le message envers nos partenaires et abonnés n'aurait pas été bon, ils nous ont suivis dans les moments difficiles, cela n'aurait pas été positif.
La saison va se terminer après 22 matchs sans playoffs, c'est frustrant et décevant pour nous. Dans le monde du hockey, ce sont les playoffs qui déterminent les champions, on s'attendait à pouvoir défendre ce titre en playoffs, même en étant affaiblis. On aurait tout laissé sur la glace. »


  Christophe Tartari:

"La situation est la même pour tous, mais on a dû faire avec. Malgré tout ça, on doit trouver le moyen d'être performants en saison. On est déçus de nos performances en tant que collectif sur cette demi-saison régulière. On travaillait fort pour trouver ces ajustements, devenir un groupe soudé et trouver des solutions pour les playoffs. Il n'y en aura pas, c'est particulier à vivre. On subit la situation et les décisions."


J. Reboh prend la suite pour exprimer « son ressenti et la relation du club avec la fédération. Pour comprendre pourquoi il y a eu deux langages "il ne faut pas" et "il faut" jouer les playoffs, pourquoi je peux être frustré de ne pas être champion et ne pas passer pour un mauvais perdant, il faut revenir sur les événements. Je veux défendre l'honneur de mes joueurs, de mon club, de mes partenaires et collectivité locales, de Grenoble. Tout cela a été bafoué, on a été manipulés depuis le début de la saison.»

Rappel des événements :

16 mars 2020 : Grenoble, Rouen et Angers sont qualifiés. Amiens est déclaré vainqueur après un arrêt de la série. Le hockey ne se joue pas dans un bureau à huis-clos mais sur la glace.  Je refuse d'adhérer à cette décision fédérale et j'ai annoncé ne pas jouer la demi-finale si la qualification ne se jouait pas sur la glace. La volonté de Rouen et Angers était de jouer coûte que coûte, peu importe si le sport n'était pas respecté. Il fallait jouer vite avant un confinement et engrangé des recettes au détriment du sportif. J'étais prêt à abandonner les recettes pour respecter l'équité sportive. Les clubs de Rouen, Angers et Amiens m'en veulent. C'est un premier coup de canif dans le contrat de l'union sacrée des 12 clubs de Magnus car je soutiens le club de Mulhouse.

Suite à une intervention ministérielle, la fédération revient en arrière, termine la série que Mulhouse remporte finalement 4-3 après avoir été mené 3-1.
Au lendemain, la fédération m'appelle pour m'annoncer que Grenoble serait qualifié pour la CHL mais qu'on ne serait pas champion car cela se gagne sur la glace, ce que j'accepte. Je ne peux pas soutenir d'être champion alors qu'on arrête les playoffs. Mes joueurs sont d'accord.

Le 30 juin, la FFHG publie un règlement de Magnus avec 44 matchs début septembre.

Le 6 octobre, la fédération adapte le règlement en fonction de la pandémie conformément au code du sport. A ce moment là, je préviens que l'on ignore si nous sommes éligibles au chomage partiel, au fonds de solidarité et à une aide pour la billeterie. Il faut qu'on arrête car j'ai peur pour la pérennité du hockey en France. Ma situation est identique aux autres clubs de Magnus, à des échelles différentes sur la masse salariale et recettes. La fédération me dit « on va voir, on va réfléchir, ce n'est pas le moment d'arrêter, il faut jouer comme les autres sports. Si on ne joue pas, on ne sera pas éligibles aux aides et « il faut occuper la scène médiatique ». Pour me rassurer, on me dit « il n'y aura pas de champion à la fin de la saison (voir règlement publié par la fédération). On est présents pour être éligibles aux aides et on favorise l'économie des clubs au détriment du sportif. Tout le monde est conscient que s'il y a du sportif au détriment de l'économie, il n'y aura pas 12 clubs l'année prochaine. On a proposé des solutions comme des poules régionales, mais cela n'a pas été retenu.
Entre le 6 octobre et début janvier, les présidents de clubs ne se réunissent pas. En janvier, on décide de passer à 22 matchs sans enjeu sportif, pour occuper la place médiatique, pas d'enjeu sportif (pas de public = pas de playoffs). Fin décembre, je me suis entretenu longuement avec Eric Ropert (directeur de la fédération). J'ai demandé à fixer la régle pour tous les clubs pour éviter des discussions à la fin de la partie. Il me dit «on ira sur cette logique, je ne connais la sagesse de tous les clubs ». Amiens et Chamonix perdent des joueurs, Mr Bozon (équipe de France) me demande si Damien Fleury, Peter Vallier et Sacha Treille peuvent aller jouer à l'étranger pour plus d'adversité. 

Le 26 février, la fédération envoie le compte-rendu de la réunion du 18 janvier avec des incertitudes et imprécisions. Dans ce compte-rendu est stipulé que le premier de la saison régulière sera champion s'il n'y a pas de playoffs. Il est impossible que j'ai validé ça. Le 9 mars, il modifie le compte-rendu du 18 janvier et indique que je n'ai pas évoqué le fait j'étais d'accord sur le fait qu'il y ait un champion en fin de saison.
Sur la Coupe de France, les clubs voulaient la poursuivre même si des clubs de D2 étaient encore en lice et ne pouvaient pas jouer. Le 9 mars, on nous annonce que la Coupe de France était arrêtée.
Le 10 mars, un communiqué du bureau directeur prend une décision unilatérale et décide que le premier de la saison régulière serait champion. Le 13 mars, Rouen est mathématiquement champion. »

Le président Reboh a fait part « d'une énorme frustration » depuis le mois de janvier. Il s'est rapproché d'un juriste du sport pour voir si « sa frustration avait une symétrie dans le droit ».

La fédération avait la capacité d'adapter le championnat jusqu'au 31 décembre alors que la Magnus a été modifiée entre janvier et mars.
L'année dernière, nous finissons premiers après 44 matchs. Je valide le fait que nous ne soyons pas champions car pas légitime et cette année, nous faisons 22 matchs et Rouen est champion. J'ai le sentiment qu'on galvaude ce si beau trophée qu'est la magnus et qu'on a mis 10 ans à gagner il y a deux ans. Cette année, sur un coup de dés, Rouen est champion.

La résultat de la consultation juridique a été envoyé à la fédération le 2 mars. Des propositions de nouvelles formules de playoffs ont été suggérées pour réduire les coûts, comme un final 4 à Cergy ou un aller-retour pour décerner un titre sur la glace.
Il n'y a pas eu de discussions ou d'échanges ensuite, Rouen a ensuite été déclaré champion.

Grenoble a 15 jours depuis le 9 mars pour saisir le CNOSF sur la base de cette consultation afin de trouver un terrain d'entente. Le président espère que la fédération entendra cette appel et organisera des playoffs. Il souligne qu'il n'a aucun problème avec les autres clubs et a conscience que cette procédure aura des conséquences sur l'image du club, de la fédération et du hockey français.
« Quand on a un très bon arbitre sur la glace, qui détermine la régle, la respecte et la fait appliquer, les joueurs sont sereins et préservés. Quand l'arbitre n'est pas bon, les joueurs sont frappés, peuvent se blesser. Aujourd'hui c'est ce que fait la fédération. Si je fais cette métaphore, c'est qu'elle est réélle. Les arbitrages de la fédération auront pour conséquences de nous affaiblir avec nos partenaires car je ne suis plus champion en titre, je n'ai plus la CHL qui est un enjeu économique important et planifié. On sortira grandis de cette aventure. Ca ma convaincu que d'être gérés par une organisation « amateur » est une étape dont le hockey doit s'affranchir et passer vers une organisation et une ligue professionnelle qui va protéger et défendre les intérêts des douze clusb de Magnus qui ont besoin de cette représentativité et équité dans leur business. »

 

La mediation du CNOSF n'est pas contraignante, elle émet un avis. Elle peut très bien soutenir la fédération tout comme approuver notre démarche, mais ce seront des préconisations. Ce sont des bases pour une conciliation.

Dans l'hypothèse ou cette conciliation n'aurait pas lieu, nous iront devant le magistrat pour obtenir soit réparation des préjudices moral pour le titre de champion et économique. Certains présidents de clubs ont même suggéré de donner le titre rétroactivement à Grenoble. Plutôt que de corriger la faute, on préfére revenir sur une décision antérieure. Je ne veux pas du titre de l'année dernière, on ne l'a pas gagné.
Si mon staff me dit qu'on en sortira plus salis que glorifiés, je n'irai pas au bout. Mais aujourd'hui mon état d'esprit est d'aller au bout car j'en ai marre de me faire rouler.

La suite des questions-réponses en audio :
 
 
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Réactions sur l'article
 
potins sur glace a écritle 20/03/2021 à 09:22  
Voilà le deuxième président qui sort du rang pour exprimer son ras-le-bol sur les méthodes et la gestion de la fédération; à part une majorité de quolibets, j'ai pas vu grand chose! beaucoup se complaisent dans la médiocrité du hockey national, on est une petite nation sur la scène internationale. Prendre des directives contradictoires ou rétroactives pour la fédération ne permettent pas d'avancer dans la quiétude ou la sérénité.
Un club se gère bien comme une entreprise, on ne peut marcher sur des oeufs en permanence avec des décisions qui mènent à une certaine instabilité et une incertitude sur le futur.
Cependant quand derrière la grande majorité des clubs se cachent pour ne pas être désignés à la réprobation de tous on n'avancera pas, un peu de courage serait opportun.
De toute façon les problèmes vont vite arriver avec cette crise sanitaire et les finances des clubs. C'est à la fin de la bataille qu'on compte les morts et les blessés.
Alors au président Reboh, on peut que lui conseiller dans ce climat pusillanime et avec un manque flagrant de courage, de mettre la pédale douce et de rentrer dans le rang pour le bien du club de Grenoble. Une procédure serait mal venue sans soutien.
Le hockey Français n'est pas prêt à faire sa révolution, pour se consoler on peut toujours se dire qu'on vient à bout de ses desseins avec de la patience.
tilain a écritle 19/03/2021 à 21:59  
Très bel interview de Mr JURET sur Sport de France lors du Match Angers Chamonix. Beaucoup de fair play, des remerciements pour la Ffhg..... et une incomprehension de l'attitude de Reboh
tilain a écritle 19/03/2021 à 21:19  
Reboh sur Telegrenoble, c'est dur de regarder, quelle tristesse dans ces propos, j'ai pitié pour lui.... Ça frôle le ridicule. La fédé qui donne le titre à Rouen 3 jours avant!!! Ah, oui, une précision importante, le président et le vice-président sont des ex joueurs rouennaise donc la fédération est Rouennaise.....🤔🤔🤔
C'est pour cela que depuis 25 ans Les dragons remportent un titre tous les 2 ans alors qu'il faut 10 ans aux pauvres Grenoblois pour remporter un titre....🤔😁
Donner le titre à Rouen 3 jours avant, au bout de 22 matchs (euh...18) alors que Grenoble jouent des matchs d'exhibition, c'est pas normal🤪🤪🤪🤪
ham a écritle 19/03/2021 à 17:06  
étrange?? à part filer le titre à Rouen sans jouer les playoffs et les propulser de ce fait en CHL, rien n'est étrange, un titre obtenu par la fédération et non sportivement (playoffs).
quand à la situation économique désastreuse, quels clubs n'a pas souffert de cette purge avec cette crise sanitaire ? Tous les clubs vont avoir une situation désastreuse, dégradée ou très dégradée, la commission de contrôle devra se montrer très clémente, quand à Rouen propulsé en CHL, ils auront peut être moins de problèmes financiers que Grenoble!
dites merci Mr tardif au lieu de chicaner sur des riens, l'année précédente c'était Amiens qu'on voulait qualifier de force contre Mulhouse, honteux tout ça.
xav76 a écritle 19/03/2021 à 15:21  
Assez étrange tout ça... j'espère que mr Reboh ne cache pas une situation économique désastreuse... pour la saison prochaine et clamer haut et fort que la commission de controle lui en veut et lui cherche de poux. Thierry Chaix a bien évoqué en conf de presse que ce sont les plus gros clubs qui ont souffert au niveau budget et pas les plus petits du à l'articulation des recettes. Mr Reboh était présent à toutes les réunions donc... Il faut de toute façon tirer un trait sur cette saison peu glorieuse, on a quand même vu du hockey et voir surtout ce que donnera la saison prochaine après le passage de la commission de controle. Le hockey est fragile en France et on n'a pas besoin de ça pour encore plus le fragiliser. Comme actuellement il faut l'union sacrée, faire le dos rond et espérer
obi76 a écritle 18/03/2021 à 14:15  
Merci à Hockey Hebdo de ne pas avoir dit un mot sur le titre des Dragons..
Merci aussi de publier les élucubrations de l'autre pleureuse de REBOH ( croit il vraiment qu'il aurait gagné cette année?).......
J'espère juste que les Dragons (champions de France 2021) vont aller punir ces prétentieux grenoblois et mettre les fesses rouges à leur minable président...
bibifricotin a écritle 18/03/2021 à 10:56  
Encore une décision de plus qui discrédite encore la fédération !!! il est grand temps pour ceux qui sont en place depuis plus de dix ans de passer la main ou écouter un peu plus les clubs.
Pourquoi ne pas faire comme le championnat de D1 ?
certains clubs ont traversé la France en deux jours pour jouer leur match de championnat.
Ou est la cohérence de cette fédération en matière de couts économiques pour la survie des clubs ???
C'est comme le dossier fanseat, on voit que les clubs de D1 ont quasi tous choisi de retransmettre leurs match sur youtube tellement la vidéo des amis de la fédé sont pitoyables et la magnus se demande si elles ne vont pas aussi faire de même !
moi je dis champion au rabais cette saison, désolé mais ce titre n'a aucune saveur pour nous les rouennais.
on s'assure juste une place en CHL c'est tout.
potins sur glace a écritle 18/03/2021 à 00:00  
Une pantalonnade de la fédération, une de plus, on est dans l'improvisation permanente, dans l'amateurisme et le burlesque voire le ridicule.
La fin de saison dernière a été pitoyable, celle ci est un fac-similé. Des revirements de situations en permanence et des décisions ubuesques et contradictoires, des accointances peuvent être évoquées, si le titre n'a pas été attribué la saison passée, on doit rester sur la même directive cette année c'est uniquement du bon sens.
Avec cette crise sanitaire, il était évident depuis le début de la saison que le déroulement des compétitions connaitraient des heurts, la situation était équivoque et incertaine, cependant les règlements doivent rester immuable c'est une question d'équité, on ne peut le changer par connivence ou par des votes futiles, certains y trouveront leurs comptes et d''autres pas! c'est ce qui se passe actuellement.
Sans les play-offs le titre ne peut être attribué afin de préserver encore une fois l'équité notamment dans les domaines sportifs et économiques.
Il est grand temps pour la fédération de respecter les règlements établis par elle-même et de s'y tenir. l'amateurisme et la gestion de l'à-peu-près ne peuvent plus cohabiter ensemble, c'est bien de la survie du hockey français dont il est question.
rqptor a écritle 17/03/2021 à 23:34  
Toi, tu parles sans savoir... ou du moins avec ta vérité !! Laisses les grandes personnes laver leurs linges sales entre eux :s
tilain a écritle 17/03/2021 à 21:14  
Reboh, la pleureuse de la ligne, me fait pitié par ces propos mensongers
1) Lors de la réunion du 18 Mars, la Ffhg a défini la suite du championnat en collaboration avec les 12 clubs dont Grenoble. Les play-offs se joueront s'il y a public dans les patinoires après 22 match de SR. Dans le cas contraire, le vainqueur de la SR sera titré et participera à la Chl.
2)Aucune comparaison avec l'année dernière à faire....
En 2020, il n'y a pas eu de titres car la saison a été arrêtée pendant les play-offs Mulhouse, Angers, Grenoble et Rouen pouvaient être champions. Grenoble n'a pas accepté le titre car il n'a jamais été proposé par la fédération dans la mesure que les PO avaient commencé et arrêté par la crise.!!!!!!
Reboh, réfléchis avant de parler et un peu d'empathie sur le plan sportif envers Rouen le champion et Angers le vice champion serait sympa....
 
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