1er tiers :
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| Photographe : Emmanuel Lavocat |
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Steven Cacciotti donne le ton du match en inscrivant le premier but de la rencontre après seulement 45 secondes de jeu (0’45, 0-1, buteur : Steven Cacciotti, assist : Jan Plch).
Les Lyonnais n’ont pas d’autre choix que de rentrer dans le match immédiatement s’ils ne veulent pas voir Epinal prendre de l’avance. Les deux équipes se disputent le palet et essayent d’imposer leur jeu.Tomas Kloucek sera le premier joueur du match à rejoindre la prison (4’44 – retenir un adversaire).
Les Lions se retrouvent en supériorité numérique et s’installent progressivement devant la cage d’Epinal. Malgré plusieurs tentatives, le palet n’arrive pas à trouver les filets. Il ne reste plus qu’une seconde de power play quand
Jonathan Laberge remet les deux équipes à égalité (1-1, 6’43, buteur : Jonathan Laberge, assist : Julien Lebey, Vikhael To Landry).
Les deux équipes ont soif de but et la tension entre les joueurs se ressent. Les deux équipes profitent tour à tour de phases de power play mais n’arrivent pas à concrétiser leurs actions (7:41 - Vojtech Kloz - Obstruction, 9:19 - Julien Lebey - Retenir un adversaire).
A 12’26, Anthony Rapenne débloque la situation et offre un deuxième but à son équipe (12’26, 1-2, buteur : Anthony Rapenne, assist : Jiri Klimicek, Yannick Offret).
Florian Sabatier ne laisse de répit aux Lions en inscrivant un but supplémentaire (13’16, 1-3, buteur : Florian Sabatier, assist : Jan Plch, Steven Cacciotti).
Lyon ne se décourage pas et continue d’attaquer pour réduire la marque mais les actions s’enchaînent sans se concrétiser. Epinal, en avance de deux points, ne se relâche pas pour autant. Les joueurs commencent à s’énerver sur la glace et des fautes sont commises (16:37 - Fabien Metais - Charge avec la crosse, 18’18 - Steven Cacciotti – Obstruction).
Le premier tiers se terminera sur un score de 1-3 en faveur d’Epinal. Ils ont su prendre au dépourvu les Lions sur leur glace dès le premier coup de sifflet. Lyon n’a pas abandonné pour autant et n’a cessé d’attaquer mais la réussite a souri à Epinal.
2ème tiers :
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| Photographe : Emmanuel Lavocat |
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Changement de gardien côté lyonnais, Macrez remplace Virtanen qui a été blessé lors d’une charge durant le premier tiers temps. Inversement des rôles en ce début de deuxième tiers.
Vikhael To Landry rend la monnaie de sa pièce à Epinal en réduisant l’écart à un seul but en dix secondes de moins que Steven Cacciotti (20’35 – 2-3, buteur : Vikhael To Landry, assist : Jonathan Laberge, Julien Lebey).
L’ambiance sur la glace était déjà tendue pendant le premier tiers et cela ne va pas en s’arrangeant dans le second. Mitja Sivic sort de la glace sur civière suite à une charge dangereuse de Tomas Kloucek. La partie est finie pour ce dernier et retourne dans les vestiaires en laissant son équipe dans une mauvaise posture (7:21 - Charge contre la bande).
Lyon se voit accorder une chance de revenir au score, mais c’est le scénario inverse qui se passe et c’est
Epinal qui va creuser l’écart grâce à un but de Pierre-Charles Hordelalay (31’35, 2-4, buteur : Pierre-Charles Hordelalay, assist : Matthieu Le Blond).
Quels que soient les efforts des Lyonnais, la réussite sourit à Epinal. Lyon n’arrive pas à concrétiser ses occasions.
Victor Vitton-Mea va conjurer le sort et permet à son équipe de revenir pour la deuxième fois à un point de son adversaire (34’35, 3-4, buteur : Victor Vitton-Mea, assist : Fabien Metais, Maxime Langelier-Parent).
Après la blessure de Mitja Sivic, les relations entre les deux équipes ne se sont pas améliorées et les arbitres sont obligés d’intervenir plusieurs fois pour éviter toute altercation. Cela n’empêche pas les joueurs d’être sanctionnés de plusieurs pénalités (36’19 – Jarno Lippojoki - Retenir un adversaire, 37’43 - Cedric Custosse - Dureté excessive, 37’43 - Steven Cacciotti - Dureté excessive).
Lyon finit le second tiers avec seulement un point de retard. Tout est encore possible dans le dernier tiers. Epinal a encore su être décisif au moment adéquat, ce qui leur permet de rester devant au score. On regrettera la charge sur Mitja Sivic, qui sera probablement indisponible les quatre prochains mois.
3ème tiers :
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| Photographe : Emmanuel Lavocat |
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Jamais deux sans trois,
c’est cette fois au tour de Eric Galbraith d’inscrire un but en moins d’une minute. Lyon est enfin revenu à égalité (40’42, 4-4, buteur : Eric Galbraith, assist : Maxime Langelier-Parent, Maxime Joly).
Tout est à refaire pour Epinal dans ce troisième tiers, tandis que les Lions ont l’opportunité de prendre l’avantage pour la première fois dans ce match. La mi-temps a été bénéfique pour les deux équipes qui ont relâché la tension et peuvent ainsi se concentrer sur le match.
Le jeu accélère des deux côtés. Les actions sont plus fluides mais elles continuent de se heurter à une défense solide. Le match est des plus intenses. Aucune des deux équipes n’arrive à prendre le dessus et les supporters s’impatientent de voir le prochain but.
Matthieu Le Blond rejoint la prison offrant une supériorité numérique aux Lyonnais (54’39 – Cinglage). Lyon va profiter de ce power play pour mettre la pression à l’équipe adverse mais la défense est présente. Il est difficile de trouver les filets,
pourtant Eric Galbraith, après avoir offert l’égalisation en début de période, permet enfin à Lyon de prendre le contrôle de la rencontre (56’01, 5-4, buteur : Eric Galbraith, assist : Maxime Langelier-Parent).
La joie est de courte durée car Johan Burlin fait trébucher un joueur, donnant ainsi l’occasion à Epinal de revenir au score (56’11 – Faire trébucher). Mais les Lions restent solides et malgré plusieurs actions dangereuses, le score reste inchangé.
Lyon a su renverser la vapeur. Dominés dans les deux premier tiers, les Lyonnais sont revenus plus sereins et ont su remettre les compteurs à zéro dès le début de la période. Les joueurs des deux équipes ont tout donné pour rapporter la victoire à leur équipe ; la réussite a été en faveur des Lyonnais. Lyon paie toutefois un lourd tribut dans ce match, avec les blessures de Mitja Sivic et de Virtanen, sûrement indisponibles quelques temps.
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