A l'issue de la finale de la coupe de France, et alors que l'équipe d'hockeyhebdo commençait tranquillement à se disperser, l'éphémère patinoire ne semblait plus qu'un rêve puisque celle-ci trouvait là son cimetière. Messieurs Lardière et Salomé, photographes ô combien émérites, n'avaient pas le temps de sortir leur gros réflex que je dégainais déjà le mien, enfin presque. Un superbe téléphone portable et ses 2 millions de pixels (respect s'il vous plait). Cet instant nous indiquait que la fête était bel et bien finie. Nous n'avions plus qu'à nous dire au revoir et rejoindre par train, métro et voitures nos villes respectives.

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