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Hockey sur glace - Tribune libre de Tristan Alric
Hockey sur glace - 122 / NOS JUNIORS U20 SONT ABSENTS DEPUIS 24 ANS !
 
L’équipe de France juniors des moins de vingt ans a participé une seule fois aux championnats du monde élite. Tristan Alric, créateur de la Coupe Magnus, revient sur cet événement sportif historique qui s’est déroulé en 2002 en République tchèque.
 
 
Tribune N°122

 
 

 NOS JUNIORS U20 SONT ABSENTS DEPUIS 24 ANS !
 


Pour se rendre compte du véritable niveau du hockey sur glace français sur la scène internationale, il suffit de consulter un palmarès très éloquent, celui des championnats du monde juniors U20 « élite ».
Ce tournoi international, qui met en compétition chaque année les dix meilleures nations du monde des moins de vingt ans, est très révélateur de notre place réelle dans la hiérarchie planétaire.
Or, depuis la création de cette compétition en 1977, la France a eu l’occasion de participer une seule fois au prestigieux Mondial juniors élite ! C’était au tout début de l’année 2002 lors des championnats du monde qui furent organisés conjointement à Hradec Kralove et à Pardubice en République tchèque.
Dans ces deux villes voisines, situées à 120 kilomètres de Prague, ce tournoi élite, qui fut malheureusement unique pour la France, a été très cruel pour nos « Bleuets ». L’équipe de France avait été balayée d’entrée par le Canada sur un score écrasant de 15-0. Notre sélection a subi ensuite deux autres défaites sans appel contre la Finlande et contre la Suisse curieusement sur un score identique de 8-0 !
Entre-temps, nos jeunes représentants, visiblement surclassés par tous leurs adversaires, avaient pris également une autre leçon de hockey contre la Russie sur le score un peu moins douloureux de 5-1. Cette défaite permit au moins d’assister au premier but tricolore marqué par notre défenseur de l’époque Timo Bayon. L’ancien grenoblois a ainsi sauvé notre honneur paradoxalement notre contre les Russes qui allaient remporter ensuite la médaille d’or.
Pour l’anecdote, lors des quatre premiers matches de la poule B disputés par les juniors tricolores, la patinoire de Hradec Kralove était pratiquement vide à chaque fois avec seulement 300 spectateurs présents dans les gradins. Il n’y a que pendant le duel frontalier contre la Suisse que 856 badauds (comptage officiel) mirent un peu d’ambiance grâce à la présence d’un groupe de supporters helvètes. Mais ce quasi anonymat prouve l'indifférence du public pour les matches de nos Bleuets qui étaient pourtant les nouveaux promus.

 
UNE RELÉGATION QUI EST RESTÉE TRÈS FRUSTRANTE


Lors de ce tournoi mondial « historique » pour la France dans l’élite mondiale les regrets de nos jeunes juniors furent d’autant plus grands que l’équipe de France, dirigée à l’époque par le franco-canadien Dave Henderson et son adjoint franco-américain James Tibbetts, connut une autre terrible désillusion sportive avant de conclure ce tournoi inédit.
En effet, lors du premier match de relégation disputé à Hradec Kralove, nos représentants s’imposèrent d’abord de justesse contre la Biélorussie sur le score de 3-2 grâce aux trois buts français marqués par Mickaël Brodin, Pierre-Yves Albert et Aram Kevorkian.
Ce premier succès avait donné un peu de baume au cœur des Tricolores et une réelle chance de sauver à nouveau leur honneur en limitant un peu les dégâts. Malheureusement, nos jeunes représentants furent malgré tout exclus du gotha junior à l’issue du deuxième duel qui fut tout aussi serré contre la Biélorussie et qui eut lieu cette fois à Pardubice.
La désillusion fut terrible car la relégation de l’équipe de France s'est jouée sur un coup de dés uniquement après une incroyable séance de tirs au but qui restera longtemps dans les mémoires de nos jeunes représentants. En effet, il a fallu faire appel à quatorze joueurs dans chaque équipe pour tirer chacun à leur tour dans un suspense insoutenable ! Un scénario de folie totalement incertain et irrespirable qui a permis malheureusement à la Biélorussie d’arracher finalement son maintien in extrémis dans l’élite mondiale (3-2).
Pour l’anecdote, cette relégation très traumatisante des juniors français s’est déroulée à nouveau dans l’indifférence presque générale du public tchèque la veille de la finale de ce Mondial élite U20 à l’issue de laquelle la Russie a donc remporté la médaille d'or sur le score serré de 5-4 après avoir été pourtant été menée 3-1 par le Canada lors de la deuxième période. Ce fut un grand spectacle juvénile appartenant à un autre monde !



L’équipe de France juniors U20 qui a participé à l’unique championnat du monde élite en 2002


LA FRANCE TOUJOURS FRUSTRÉE DE RESTER UNE NATION MODESTE


Je rappelle que ce passage éclair de la France dans l’élite mondiale junior put avoir lieu en 2002 grâce à une promotion obtenue un an auparavant lors d’un tournoi organisé en Allemagne à Füssen et à Landsberg (voir photo de la médaille d'or en haut de la tribune). A cette occasion, le capitaine des Bleuets Sébastien Dermigny et ses coéquipiers avaient pu produire à l’inverse une qualité de jeu prometteuse au point de ramener à la maison une belle médaille d’or dans la Division 1.
Malheureusement, un an plus tard, la participation de la France au prestigieux Mondial masculin élite U20 s’est déroulée avec une nouvelle sélection tricolore fortement remaniée et beaucoup moins performante qui n’a pas pu tenir ses promesses.
On notera pourtant que sept joueurs déjà présents lors du tournoi de promotion en Allemagne en 2001, firent également partie de la nouvelle équipe de France un an plus tard en République tchèque : Aram Kévorkian, Matthieu Becuwe, Michael Brodin, Sébastien Rousselin, Mickael Bardet, Geoffroy Bessard du Parc et Wilfried Molmy.
L’aide de ces sept « anciens » n’a pas suffi et l’élite mondiale resta un épisode furtif depuis cette époque en devenant dans les esprits un rêve constamment inaccessible pour notre équipe nationale juniors U20.

Effectivement, depuis cette date le retour dans la « cour des grands » est devenue une idée fixe obsessionnelle tous les ans pour les nombreux entraîneurs nationaux qui se sont succédés à la tête des Bleuets comme Dany Gélinas, Christer Eriksson, Patrick Rolland, Christian Pouget, Philippe Bozon, Lionel Charrier, Romain Farrugia, Eric Sarlieve, Alexis Billard, Pierre Pousse, Yorick Treille, Erwan Agostini, Eric Blais, Alexandre Rouillard ou encore Olivier Dimet et Kévin Da Costa. Bref, une bonne quinzaine au total !
Je rappelle qu’il y a un an, en 2024, à Bled en Slovénie, notre jeune sélection tricolore avait terminé à la cinquième place seulement du Mondial de la Division 1A après avoir perdu contre l’Autriche (2-4), contre la Slovénie (2-6) et contre la Norvège (1-4). Les Bleuets ont juste pu s’imposer contre la Hongrie reléguée (5-2) et paradoxalement contre le Danemark, premier du groupe, après l’épreuve des prolongations (5-4).
Doit-on considérer l’absence permanente de l’équipe de France junior U20 dans le « gratin » Mondial élite comme une fatalité ? Je dirais que c’est simplement la preuve d’une triste réalité. Il faut bien se rendre à l’évidence que, malgré les années qui passent et quelles que furent les qualités plus ou moins affirmées des divers coaches qui ont été nommés (par paires) pour diriger la relève, nos jeunes Tricolores n’ont toujours pas pu franchir le « plafond de verre » et retrouver un niveau suffisant pour pouvoir évoluer parmi les dix meilleures nations. Le rêve de nos espoirs internationaux U20 de faire partie de l’élite mondiale reste donc toujours inaccessible depuis maintenant 24 ans !


LE CONTEXTE TRES SPÉCIAL DU MONDIAL JUNIORS DE 2002


Je profite de l’occasion pour rappeler le contexte très spécial dans lequel s’est déroulé ce fameux tournoi mondial juniors élite de 2002 auquel l’équipe de France a pu participer pour la seule et unique fois de son histoire.
Alors que les championnats du monde U20 élite étaient en train de se dérouler en République Tchèque entre Noël et le jour de l’an, dans plusieurs pays d’Europe et notamment en France, les habitants ont pu régler désormais leurs achats, non plus avec les diverses monnaies nationales, mais avec les nouvelles pièces et les nouveaux billets en euros dès le 1er janvier 2002.
Par ailleurs, ce tournoi mondial junior élite de hockey fut organisé un mois seulement avant le coup d’envoi des Jeux olympiques d’hiver à Salt Lake City qui furent malheureusement également les derniers en date pour l’équipe de France senior masculine qui était dirigée à l’époque par l’entraîneur finlandais Heikki Leime.
Concernant la gouvernance de notre fédération, en 2002 c’est Jean-Louis Millon qui était encore le président du Comité national du hockey sur glace masculin. L’ex-président de la ligue de l’île de France, fut par également le « team leader » de l’équipe de France juniors U20 lors de ce fameux tournoi mondial en République tchèque.
Par ailleurs, l’ancien joueur et entraîneur de Grenoble Daniel Grando était le manager de la sélection tricolore tandis que Jean-Michel Oprendek occupait le poste de Directeur technique national de la FFSG, l’instance encore tutélaire de notre discipline avant son émancipation qui allait avoir lieu quatre ans plus tard.
 

 
Les juniors U20 français fêtent leur promotion dans l’élite mondiale en 2001 en Allemagne


UN FORT CONTINGENT TRICOLORE ISSU D’AMIENS ET DE REIMS


Dans l’équipe de France juniors U20 de la fameuse saison 2001-2002, Dave Henderson, qui était également le manager général du club d’Amiens, avait incorporé dans la sélection tricolore un contingent important issu des deux clubs qui venaient d’être sacrés récemment champions de France à savoir Amiens qui remporta la Coupe Magnus en 1999 et Reims sacré également champion de France en 2000.
En effet, il n’y avait pas moins de sept joueurs des « Gothiques » : Yannick Maillot, Mickaël Bardet, Pierre-Yves Albert, Elie Marcos, Simon Petit, Romain Masson et Mathieu Jestin. Mais il y avait également six joueurs des anciennes « Flammes Bleues » de Reims : Thomas Guéguen, Mickaël Brodin, Francis Ballet, Gaël Guilhem, Wilfried Molmy et Julien Thiery.
Le club de Rouen, devenu entre-temps champion de France en titre en 2001 juste avant ce mondial, était uniquement représenté par trois joueurs : Aram Kevorkian, Geoffroy Bessard du Parc et Landry Macrez (gardien). Le club de Dunkerque complétait la sélection avec deux joueurs : Ghislain Folcke et Matthieu tout comme le club d’Angers, représenté par Jérôme Plumejeau (gardien) et Sébastien Rousselin. Enfin, le club de Strasbourg y participait grâce à Frédéric Bastian et le club de Grenoble avec Timo Bayon.
 

QUE SONT DEVENUS LES BLEUETS DU MONDIAL DE 2002 ?


Parmi les anciens juniors internationaux français qui viennent de dépasser aujourd’hui la quarantaine (42 ou 43 ans), certains ont pu continuer à exercer une carrière sportive très honorable en rejoignant la Ligue Magnus professionnelle. Ce fut le cas notamment de l’amiénois Elie Marcos, sacré champion de France en 2004 avec les Gothiques, qui est devenu ensuite le capitaine emblématique de « l’Etoile Noire » de Strasbourg pendant huit saisons avant d’achever sa carrière en retournant dans son club d’origine. Elie Marcos est devenu par ailleurs aujourd’hui le manager général du club d’Amiens et le directeur du centre de formation professionnel des Gothiques.
Il faut noter aussi le beau parcours du rémois Mickaël Brodin, sacré champion de France en 2002 avec Reims puis en 2004 avec Amiens. Il joua également dans la Ligue Magnus à Dijon, à Caen et surtout pendant sept saisons consécutives à Morzine-Avoriaz où il devint le capitaine des « Pingouins ».
De son côté, Aram Kevorkian (neveu de l’ancien international du même nom), sacré Champion de France en 2003 avec Rouen, effectua d’abord un petit séjour en Finlande (Seimä Joki), puis il re dans l’hexagone pour continuer à évoluer également dans la Ligue Magnus avec d’abord le club de Morzine-Avoriaz avant de devenir le capitaine assistant du club de Chamonix puis celui de Dijon où il acheva sa carrière.




A droite, Elie Marcos en compagnie de David Hennebert, champions de France avec Amiens en 2004


UN SEUL JOUEUR FUT ENSUITE SÉLECTIONNÉ EN SENIOR


Parmi les Bleuets les plus marquants de cette époque, il faut ajouter également le gardien de but Landry Macrez, sacré ensuite champion de France avec Rouen en 2003, qui deviendra aussi épisodiquement un portier très en vue dans la Ligue Magnus avec les clubs d’Amiens, Morzine-Avoriaz, Lyon et Mulhouse. A noter que Landry Macrez fut le seul international tricolore junior de 2002 à participer ensuite à un championnat du monde senior à l’occasion du tournoi de la Division 1 de 2007 organisé à Qiqihar en Chine. Ce portier natif d’Amiens, qui a fait également deux piges au Mont-Blanc et à Montpellier, est devenu plus récemment l’entraîneur des gardiens des « Ducs » d’Angers.
Le défenseur angevin Mathieu Jestin, sacré ensuite champion de France en 2004 à Amiens puis en 2014 à Briançon, effectua quant à lui une carrière honorable dans la Ligue Magnus également à Chamonix avant de rejoindre le club de Cholet.
L’attaquant Francis Ballet, sacré champion de France en 2002 avec Reims et en 2005 avec Mulhouse, joua également dans la Ligue Magnus à Anglet, à Caen et au Mont-Blanc avant de devenir capitaine ou assistant à Brest puis il a achevé sa carrière à Dunkerque.
De son côté, l’attaquant amiénois Mickaël Bardet évolua ensuite dans la Ligue Magnus avec les clubs de Dunkerque, Morzine-Avoriaz et Angers avant de devenir capitaine assistant à Wasquehal en Division 2.

 
CERTAINS N’ONT FAIT QU’UNE SAISON DANS LA LIGUE MAGNUS !


On notera que plusieurs tricolores juniors U20 qui ont pu côtoyer brièvement l’élite mondiale en 2002, ne jouèrent ensuite qu’une seule saison dans la Ligue Magnus avant de rejoindre les divisions inférieures du championnat de France. Ce fut par exemple le cas du défenseur Timo Bayon à Grenoble qui est reparti ensuite tenter sa chance en Finlande dans les clubs de Salamat et de TuusKi.
Parmi ceux qui ont été éphémères dans notre championnat de France professionnel, Frédéric Bastian n’a pu également évoluer qu’une seule saison avec le club de Strasbourg. Pour l’anecdote, ce dernier fut privé des deux premières rencontres lors de ce fameux championnat du monde juniors élite de 2002 à cause d’une blessure au visage après avoir reçu un palet sur une joue lors d’un match de préparation.
Autres « étoiles filantes » dans la Ligue Magnus : l’attaquant rémois Gaël Guilhem avec un court passage à Neuilly-sur-Marne, Matthieu Bécuwe et Ghislain Folcke avec le club de Dunkerque ainsi que Romain Masson avec le club de Gap.
Quant à Wilfried Molmy qui était pourtant le capitaine des Bleuets lors de ce Mondial élite junior historique de 2002, il a évolué sur la ligne des juniors de l’équipe senior de Reims lors du sacre du club en 2002, mais il joua ensuite en senior uniquement dans les divisions inférieures du championnat de France à Brest, Dijon, Chambéry, Limoges, Reims et Châlons-en-Champagne.


NOUVELLE TENTATIVE MANQUÉE CETTE ANNÉE EN SLOVÉNIE !


L’équipe de France, dirigée comme l’an passé par Olivier Dimet, vient non seulement d’échouer une fois encore à rejoindre l’élite mondiale la semaine dernière mais, pire scénario, les Bleuets ont été rétrogradés dans la Division 1 B comme ce fut déjà le cas il y a sept ans à Füssen en Allemagne.
Cette nouvelle chute très inquiétante s’est produite lors des championnats du monde de la Division 1 A organisés pour la deuxième année consécutive à Bled en Slovénie.
Visiblement résignés à jouer une fois encore uniquement les « faire-valoir », nos jeunes représentants (qui sont censés représenter la relève) ont été très sérieusement malmenés en s’inclinant successivement face à la Norvège (2-8), face à l’Autriche (2-4), face au Kazakhstan (6-14) puis face à la Slovénie (4-5) après les prolongations.
Lors du cinquième match du tournoi décisif contre l’Ukraine notre équipe de France des moins de vingt ans, qui menait 2-0 après seulement cinq minutes de jeu dans le première période (buts de Paul Le Lem et Mathis Dufour), a été pourtant battue malgré tout 2-3 par l’équipe de l’Ukraine !
Cette dernière, a non seulement égalisé lors de la deuxième période (2-2), mais les Ukrainiens ont également profité de l’absence de Guillaume Schoch devant la cage tricolore, laissée volontairement vide à deux minutes de la fin du match, pour envoyer le palet au fond et briser définitivement le rêve de rédemption des Français.   

  
Que faut-il conclure de cette nouvelle relégation de la France au troisième échelon mondial ?

Sinon qu’avec seulement sept joueurs dans leur dernière année junior (nés en 2006), notre sélection tricolore a payé au prix fort sa jeunesse et son inexpérience. D’autant que son niveau technique a été très décevant.
Première lacune : une résistance physique qui s’émoussait à chaque fois au fil des minutes alors que notre équipe était pourtant composée de onze jeunes joueurs évoluant à l’étranger qui auraient dû être théoriquement plus endurants.
D’autre part, une défense beaucoup trop défaillante qui fut débordée à maintes reprises et des gardiens de but, certes très sollicités, mais qui furent aussi trop friables par manque de maturité.
Une question se pose également. Y a-t-il eu un véritable plan de jeu cohérent imposé à nos Tricolores lors de ce funeste mondial ? Car visiblement la tactique sur la glace fut plutôt chaotique avec une adaptation maintes fois improvisée dans la panique pour essayer de contrer en catastrophe nos adversaires avec des modifications de lignes très régulières dans ce tournoi.
Bref, pour faire un peu d’humour grinçant, nos juniors U20 sont donc « retournés au Bled » un an après pour prendre une fois encore dans la ville slovène une cruelle leçon de hockey parfois très humiliante comme par exemple contre le Kazakhstan où nos malheureux tricolores ont encaissé neuf buts lors de la dernière période !
Résultat de ce nouveau naufrage, nos juniors U20 sont donc toujours absents de l’élite mondiale depuis 24 ans…  

 

 
Composition de l’équipe de France juniors U20 au Mondial 2025 à Bled


Gardiens de but : Baptiste Boudet (Mont Blanc), Maxim Lavoie (Ottawa Junior Senators), Guillaume Schoch (Boras).


Défenseurs : Robin Guidoux (Grenoble), Yannick Haag (Bienne), Paulin Hostein (Cergy), Ewen Jribi Chauviere (Cergy), Jolan Pfirter (Lugano), Ilmari Vial (Grenoble), Maurice Zwikel (KooKoo).


Attaquants : Kilian Alves Pereira (Rothesay Netherwood), Noa Besson (Angers), Hugo Cal (Caen), Robinson Djian (Minnesota Wilderness), Mathis Dufour (Brooks Bandits), Antonin Fine (Briançon), Arthur Hostein (Cergy), Paul Le Lem (Cergy), Alexandre Monarque (Malmö), Noa Nsonsa-Kitala (Marseille), Nathan Riu (Chambéry), Darcy Terglav (SaiPa), Tom Vidal (Lausanne).


Remplaçants :
Léo Joguet (gardien Grenoble), Auxence Terras (défenseur Grenoble)


 




Depuis plus de quarante ans Tristan Alric a été l’acteur et le témoin privilégié de l’évolution du hockey sur glace en France. D’abord comme joueur puis comme arbitre. Ensuite, en devenant le journaliste spécialiste du hockey sur glace dans le quotidien sportif L’Equipe pendant plus de vingt ans. Auteur de nombreux livres et d’une récente encyclopédie qui font référence, Tristan Alric a marqué également l’histoire du hockey français en étant le créateur de la Coupe Magnus et des divers trophées individuels. Avec un tel parcours, il est donc bien placé pour avoir une analyse pertinente sur notre sport favori. Le site Hockey Hebdo est donc heureux de lui permettre de s’exprimer régulièrement dans cette rubrique.

 
 
 






 
 
 
Lieu : Media Sports LoisirsChroniqueur : Tristan Alric
Posté par Christian Simon le 18/12/2025 à 11:00
 
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